Depuis quelque temps j'avais repérer ma manière de voler en sous-toilé et j'avais remarqué que cela était dommageable en compétition car en cas de chute de vent il faut plus d'effort pour tenir en l'air.
Sous-toilé ou sur-toilé
En entraînement voler en sous-toilé permet de progresser dans la mise en pression et dans les efforts de déplacement et je pense avoir atteint un palier dans mes capacités. De plus en ballet il faut parfois rattraper le tempo donc aller plus vite. En étant sous-toilé la tâche est ardue. C'est pourquoi je préfère en avoir sous le pied et voler en sur-toilé pour les ballets ou la compétition.
Sur-toilé : un pilotage différent
Je n'en ai néanmoins pas l'habitude et je me suis fais violence aujourd'hui à draveil. Avec un vent de 16 à 20 mph je me suis retenu avec le semi-ventilé là où j'aurais bien pris le ventilé. Le contrôle nécessita un peu d'adaptation et 2 crans de plus sur l'échelle de noeuds. Je suis passé directement à la marche arrière qui permet de bien sentir le revo et après quelques dizaines de minutes le résultat fut assez satisfaisant.
En revanche le fait d'avoir ajouter du frein implique un contrôle plus vif pour donner des accélérations brèves. En effet dans un vent fort il faut certes lâcher plus de frein (2 noeuds à l'echelle) mais également vite freiner. Cela ouvre une nouvelle façon de piloter !
… surtout en vent fort
Pendant ce temps le soleil aidant la base de loisirs était prise d'assaut et parmi la foule: un petit delta, signe d'un vent fort.
De mon côté la séance fut consacrée à la maîtrise des motifs de mon ballet en sur-toilé. Bientôt une vidéo.
Tags: compétition Draveil Entraînement Revo Vidéo